Rencontres d’auteur.e.s

Depuis quelques années, Le Crachoir de Flaubert organise un cycle de conférences.
Les auteur.e.s invité.e.s y parlent de leurs œuvres, de leurs processus d’écriture et de leur relation avec le milieu de la littérature et avec différentes dimensions de notre société. Notre public, en partie composé d’étudiant.e.s en création littéraire et d’écrivain.e.s en herbe, peut ainsi dialoguer avec l’expérience vivante des écrivain.e.s rayonnant au Québec. Quelques-un.e.s de nos invité.e.s sont aussi des chercheur.e.s en recherche-création, ou des écrivain.e.s en résidence qui présentent leur projet en conférence.
Dans ce dossier, vous retrouverez les baladodiffusions de ces rencontres. Bonne écoute!

Conférence avec Mickaël Bergeron

Par |2020-11-24T11:34:46-05:0024 novembre, 2020|Baladodiffusion, Création littéraire, Dossiers thématiques, Rencontres d'auteur.e.s|

Le 18 novembre dernier, l’essayiste et communicateur Mickaël Bergeron s’est entretenu avec Maxime Plamondon au sujet de de l’injustice et de l’indignation. Quel est l’état de la parole et de l’écoute au sein de notre société ? Est-il encore possible de créer des ponts dans un monde aussi polarisé ?

L’écriture du réel, le réel de l’écriture

Par |2019-05-09T11:25:32-05:0017 décembre, 2018|Baladodiffusion, Création littéraire, En résidence, Nicholas Giguère, Rencontres d'auteur.e.s, Textes de reflexion|

Le 22 novembre 2018 à la Librairie Saint Jean-Baptiste de Québec, Nicholas Giguère a clos sa résidence d’écriture 2017-2018 auprès du Crachoir de Flaubert avec une riche conférence portant le titre : « L’écriture du réel, le réel d’écriture ».

« Édition et création : inventer sa propre forme » : une conférence de Mylène Bouchard

Par |2019-05-09T11:39:56-05:0013 février, 2017|Baladodiffusion, Création littéraire, Rencontres d'auteur.e.s, Textes de reflexion|

Par la boîte à trous, on atteint plusieurs choses. On arrive à tout, à tous les possibles, à de l’amour qui respire. Une boîte pour les limites et des trous pour l’oxygène. Par la boîte à trous, on accède au muscle de l’imagination. On accoste à la création, on découvre un lieu propice à l’interprétation. Comme la littérature.