DIRECTION

Alain Beaulieu est écrivain et professeur. Plusieurs de ses romans ont été cités pour un prix littéraire, dont L’interrogatoire de Salim Belfakir (Druide, 2016) pour le prix France-Québec et Le postier Passila (Actes Sud, 2010) pour un Prix du Gouverneur général. Il a par ailleurs remporté de nombreux prix littéraires, notamment le Prix littéraire Ville de Québec–Salon international du livre de Québec à deux reprises. Visions de Manuel Mendoza est son quinzième roman.

Andrée Mercier est professeure titulaire au Département des littératures de l’Université Laval et directrice du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Elle a mené différents projets de recherche sur le récit littéraire québécois, de même que sur l’autorité narrative et la vraisemblance dans le roman contemporain. En ce moment, elle s’intéresse à des questions de narration problématique dans le roman. Elle a récemment dirigé avec Robert Dion le dossier «Narrations contemporaines au Québec et en France : regards croisés» (Voix et Images, no 106, automne 2010), de même que le dossier «Vraisemblance et fictions contemporaines» (Temps zéro, no 2, 2009), avec Pierre-Luc Landry et Christine Otis. Elle codirige, avec Alain Beaulieu et Neil Bissoondath, plusieurs étudiants à la maîtrise et au doctorat en création littéraire.

Étudiante au doctorat à l’Université Laval, Sara Garneau entreprend une thèse de recherche-création, sous la supervision d’Alain Beaulieu. Elle occupe un poste d’ajointe à la rédaction pour la revue Études littéraires. Elle est également directrice administrative du Crachoir de Flaubert et chargée du projet des auteur.e.s en résidence. Plusieurs de ses poèmes ont été mis en musique par la chanteuse et compositrice de la ville de Québec, Émilie Clepper, sur l’album Émilie Clepper et la grande migration réalisé par Benoît Pinette (alias Tire le Coyote) en 2018. Elle a aussi publié des textes dans des revues telles que Le Crachoir de Flaubert et la Revue Chameaux.

Petit Beauceron en cavale, Patrick Couture a complété un baccalauréat ès arts avec les certificats en scénarisation cinématographique et en création littéraire de l’UQAM, ainsi que le Certificat sur les œuvres marquantes de la culture occidentale de l’Université Laval. Il rédige actuellement un mémoire de maîtrise en études littéraires. Entre ses passages à l’université, il a arpenté l’Asie pendant 10 mois, enseigné le théâtre et l’improvisation, organisé et participé à plusieurs spectacles d’humour, suivi une formation d’un an en tourisme d’aventure en Gaspésie et guider en kayak de mer. Il aime se faire croire qu’il fera quelque chose de tout ça un jour !

DIRECTION

Alain Beaulieu est écrivain et professeur. Plusieurs de ses romans ont été cités pour un prix littéraire, dont L’interrogatoire de Salim Belfakir (Druide, 2016) pour le prix France-Québec et Le postier Passila (Actes Sud, 2010) pour un Prix du Gouverneur général. Il a par ailleurs remporté de nombreux prix littéraires, notamment le Prix littéraire Ville de Québec–Salon international du livre de Québec à deux reprises. Visions de Manuel Mendoza est son quinzième roman.

Andrée Mercier est professeure titulaire au Département des littératures de l’Université Laval et directrice du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Elle a mené différents projets de recherche sur le récit littéraire québécois, de même que sur l’autorité narrative et la vraisemblance dans le roman contemporain. En ce moment, elle s’intéresse à des questions de narration problématique dans le roman. Elle a récemment dirigé avec Robert Dion le dossier «Narrations contemporaines au Québec et en France : regards croisés» (Voix et Images, no 106, automne 2010), de même que le dossier «Vraisemblance et fictions contemporaines» (Temps zéro, no 2, 2009), avec Pierre-Luc Landry et Christine Otis. Elle codirige, avec Alain Beaulieu et Neil Bissoondath, plusieurs étudiants à la maîtrise et au doctorat en création littéraire.

Étudiante au doctorat à l’Université Laval, Sara Garneau entreprend une thèse de recherche-création, sous la supervision d’Alain Beaulieu. Elle occupe un poste d’ajointe à la rédaction pour la revue Études littéraires. Elle est également directrice administrative du Crachoir de Flaubert et chargée du projet des auteur.e.s en résidence. Plusieurs de ses poèmes ont été mis en musique par la chanteuse et compositrice de la ville de Québec, Émilie Clepper, sur l’album Émilie Clepper et la grande migration réalisé par Benoît Pinette (alias Tire le Coyote) en 2018. Elle a aussi publié des textes dans des revues telles que Le Crachoir de Flaubert et la Revue Chameaux.

Petit Beauceron en cavale, Patrick Couture a complété un baccalauréat ès arts avec les certificats en scénarisation cinématographique et en création littéraire de l’UQAM, ainsi que le Certificat sur les œuvres marquantes de la culture occidentale de l’Université Laval. Il rédige actuellement un mémoire de maîtrise en études littéraires. Entre ses passages à l’université, il a arpenté l’Asie pendant 10 mois, enseigné le théâtre et l’improvisation, organisé et participé à plusieurs spectacles d’humour, suivi une formation d’un an en tourisme d’aventure en Gaspésie et guider en kayak de mer. Il aime se faire croire qu’il fera quelque chose de tout ça un jour !

COMITÉ

Laurence Bertrand étudie en maîtrise en Études littéraires. Elle écrit de la poésie depuis le cégep. Finaliste au Prix Piché de poésie en 2018, également récipiendaire de la bourse Hector-De Saint-Denys-Garneau (pour sa suite poétique inédite La parade des morts), Laurence est lauréate du Prix de poésie Jean-Lafrenière –– Zénob –– 2019. Il est possible de lire ses poèmes au Crachoir de Flaubert, dans la revue d’art Le Sabord ainsi que dans Saturne.

Myllie Brousseau-Gauthier aime explorer toutes sortes d’avenues, comme le démontrent ses études. Elle a complété un baccalauréat multidisciplinaire en 2023, qui allie traduction, géographie et arts plastiques. Illustratrice à ses heures, elle fait aussi de la photographie et de la danse contemporaine. L’écriture l’a toujours habitée, mais il a fallu du temps pour que ses mots sortent de ses cahiers et se retrouvent au Crachoir de Flaubert, où elle agit également en tant que réviseure.

Malika Netchenawoe est étudiante en recherche-création à l’université Laval, sous la direction de Alain Beaulieu. Dans son mémoire, elle s’intéresse à l’autofiction ainsi qu’à l’autothéorie. On peut retrouver ses textes de création dans la revue le Crachoir de Flaubert, ainsi que dans le journal étudiant Impact campus.

Étudiant à la maîtrise, Anthony Bourdeau s’adonne présentement à un projet de recherche-création sur la posture du flâneur et son rapport à la ville, le tout sous la direction de Michaël Trahan. Sévère pamphlétaire envers la route de l’Église, il l’emprunte quand même tous les jours, ce qui ne manque pas de l’irriter. Il a peut-être un recueil de poésie en préparation, qui sortira peut-être aux éditions Cervidæ, mais tout cela est bien obscur.

Karine Légeron est candidate en cotutelle au doctorat en littératures de langue française à l’Université de Montréal, sous la direction de Marie-Pascale Huglo, et au doctorat en langue et littérature françaises à l’Université Paris Nanterre, sous la direction de Dominique Viart. Sa thèse en recherche-création vise à interroger les rapports entre mémoire, lieux et écriture dans certains récits d’enquête contemporains. Également autrice, elle a publié trois livres au Québec : Cassures (Sémaphore, 2015) ; Nos vies de plume (Leméac 2019) et Prendre lieu (Leméac, 2022). À titre de chargée de cours en création littéraire, elle anime des ateliers d’écriture à l’Université du Québec à Montréal.

Aileen Ruane est titulaire d’une maîtrise en études françaises (University of Illinois at Urbana-Champaign) et d’un baccalauréat en études théâtrales et en français (Kent State University —Magna cum laude). Elle s’intéresse aux théâtres irlandais, français et québécois, à la performance, à la traduction et à l’adaptation théâtrale et cinématographique, ainsi qu’aux thèmes portant sur l’identité, l’histoire et la mémoire. En 2020, elle entreprendra un projet postdoctoral à l’Université Concordia avec les professeures Sherry Simon et Emer O’Toole subventionné par les Fonds de recherche du Québec — Société et culture, provisoirement intitulé « Féminité performative et Féminismes performants : les théâtres québécois et irlandais et leurs traductions aux XXe et XXIe siècles ».