DIRECTION
Andrée Mercier est professeure titulaire au Département des littératures de l’Université Laval et directrice du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Elle a mené différents projets de recherche sur le récit littéraire québécois, de même que sur l’autorité narrative et la vraisemblance dans le roman contemporain. En ce moment, elle s’intéresse à des questions de narration problématique dans le roman. Elle a récemment dirigé avec Robert Dion le dossier «Narrations contemporaines au Québec et en France : regards croisés» (Voix et Images, no 106, automne 2010), de même que le dossier «Vraisemblance et fictions contemporaines» (Temps zéro, no 2, 2009), avec Pierre-Luc Landry et Christine Otis. Elle codirige, avec Alain Beaulieu et Neil Bissoondath, plusieurs étudiants à la maîtrise et au doctorat en création littéraire.
Étudiante au doctorat à l’Université Laval, Sara Garneau entreprend une thèse de recherche-création, sous la supervision d’Alain Beaulieu. Elle occupe un poste d’ajointe à la rédaction pour la revue Études littéraires. Elle est également directrice administrative du Crachoir de Flaubert et chargée du projet des auteur.e.s en résidence. Plusieurs de ses poèmes ont été mis en musique par la chanteuse et compositrice de la ville de Québec, Émilie Clepper, sur l’album Émilie Clepper et la grande migration réalisé par Benoît Pinette (alias Tire le Coyote) en 2018. Elle a aussi publié des textes dans des revues telles que Le Crachoir de Flaubert et la Revue Chameaux.
Clotilde Rieant a complété l’entièreté de ses études supérieures au Québec, sur les bancs de l’Université Laval. Titulaire d’un baccalauréat en études littéraires, elle a complété une maîtrise en recherche-création, et poursuit désormais ses études au doctorat sous la direction conjointe d’Alain Beaulieu et de Jean-Philippe Marcoux. Ses centres d’intérêt portent sur le traumatisme, le silence, et la littérature des femmes de couleur américaines. L’écriture a toujours été au centre de son parcours, comme de sa pratique. Elle s’est, au fil du temps, spécialisée dans une prose romanesque de genre noir.
DIRECTION
Alain Beaulieu est écrivain et professeur. Plusieurs de ses romans ont été cités pour un prix littéraire, dont L’interrogatoire de Salim Belfakir (Druide, 2016) pour le prix France-Québec et Le postier Passila (Actes Sud, 2010) pour un Prix du Gouverneur général. Il a par ailleurs remporté de nombreux prix littéraires, notamment le Prix littéraire Ville de Québec–Salon international du livre de Québec à deux reprises. Visions de Manuel Mendoza est son quinzième roman.
Andrée Mercier est professeure titulaire au Département des littératures de l’Université Laval et directrice du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Elle a mené différents projets de recherche sur le récit littéraire québécois, de même que sur l’autorité narrative et la vraisemblance dans le roman contemporain. En ce moment, elle s’intéresse à des questions de narration problématique dans le roman. Elle a récemment dirigé avec Robert Dion le dossier «Narrations contemporaines au Québec et en France : regards croisés» (Voix et Images, no 106, automne 2010), de même que le dossier «Vraisemblance et fictions contemporaines» (Temps zéro, no 2, 2009), avec Pierre-Luc Landry et Christine Otis. Elle codirige, avec Alain Beaulieu et Neil Bissoondath, plusieurs étudiants à la maîtrise et au doctorat en création littéraire.
Étudiante au doctorat à l’Université Laval, Sara Garneau entreprend une thèse de recherche-création, sous la supervision d’Alain Beaulieu. Elle occupe un poste d’ajointe à la rédaction pour la revue Études littéraires. Elle est également directrice administrative du Crachoir de Flaubert et chargée du projet des auteur.e.s en résidence. Plusieurs de ses poèmes ont été mis en musique par la chanteuse et compositrice de la ville de Québec, Émilie Clepper, sur l’album Émilie Clepper et la grande migration réalisé par Benoît Pinette (alias Tire le Coyote) en 2018. Elle a aussi publié des textes dans des revues telles que Le Crachoir de Flaubert et la Revue Chameaux.
Clotilde Rieant a complété l’entièreté de ses études supérieures au Québec, sur les bancs de l’Université Laval. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en études littéraires, elle poursuit présentement un doctorat en sous la direction conjointe d’Alain Beaulieu et de Jean-Philippe Marcoux. L’écriture a toujours été au centre de son parcours, comme de sa pratique. Elle s’est, au fil du temps, spécialisée dans une prose romanesque de genre noir.
COMITÉ
Laurence Bertrand étudie en maîtrise en Études littéraires. Elle écrit de la poésie depuis le cégep. Finaliste au Prix Piché de poésie en 2018, également récipiendaire de la bourse Hector-De Saint-Denys-Garneau (pour sa suite poétique inédite La parade des morts), Laurence est lauréate du Prix de poésie Jean-Lafrenière –– Zénob –– 2019. Il est possible de lire ses poèmes au Crachoir de Flaubert, dans la revue d’art Le Sabord ainsi que dans Saturne.
Maxime Plamondon est étudiant à la maîtrise en recherche-création à l’Université Laval, sous la direction des professeurs Alain Beaulieu et Richard Saint-Gelais. Il s’intéresse aux rapports entre fiction et réalité ainsi qu’à ces œuvres ambiguës qui prennent un malin plaisir à jouer avec le lecteur. Également conteur, comédien et nouvelliste, il s’est distingué sur diverses scènes au Québec et en Europe (Festival Québec en toutes lettres, VIIe Jeux de la Francophonie, Festival de théâtre Le Manifeste, etc.) en plus de voir ses textes paraître dans différents collectifs et revues de création littéraire. Son premier roman, Les oiseaux des temps présents, est paru à l’automne 2021.
Fraîchement débarquée au Québec, Camille Sainson est étudiante à la maîtrise en études littéraires et s’intéresse plus particulièrement à l’analyse de Moby Dick, le roman d’Herman Melville. Également passionnée de cinéma, elle publie régulièrement des critiques pour la revue française l’Avant-scène cinéma ainsi que des articles pour le journal étudiant Impact Campus.
Étudiant à la maîtrise, Anthony Bourdeau s’adonne présentement à un projet de recherche-création sur la posture du flâneur et son rapport à la ville, le tout sous la direction de Michaël Trahan. Sévère pamphlétaire envers la route de l’Église, il l’emprunte quand même tous les jours, ce qui ne manque pas de l’irriter. Il a peut-être un recueil de poésie en préparation, qui sortira peut-être aux éditions Cervidæ, mais tout cela est bien obscur.
Karine Légeron est étudiante à la maîtrise en création littéraire de l’Université du Québec à Montréal. Dans le cadre de son mémoire, elle s’intéresse aux liens entre territoire, écriture et texte; plus précisément, elle cherche à comprendre comment un lieu influence tant le processus de création que l’œuvre elle-même. Elle a publié un recueil de nouvelles, Cassures (Sémaphore, 2015) et un roman, Nos vies de plume (Leméac Éditeur, 2019), ainsi que plusieurs textes parus dans des revues. En 2018, elle a codirigé deux ouvrages collectifs avec André Carpentier (Carnets de navigation, La Traversée).
Aileen Ruane est titulaire d’une maîtrise en études françaises (University of Illinois at Urbana-Champaign) et d’un baccalauréat en études théâtrales et en français (Kent State University —Magna cum laude). Elle s’intéresse aux théâtres irlandais, français et québécois, à la performance, à la traduction et à l’adaptation théâtrale et cinématographique, ainsi qu’aux thèmes portant sur l’identité, l’histoire et la mémoire. En 2020, elle entreprendra un projet postdoctoral à l’Université Concordia avec les professeures Sherry Simon et Emer O’Toole subventionné par les Fonds de recherche du Québec — Société et culture, provisoirement intitulé « Féminité performative et Féminismes performants : les théâtres québécois et irlandais et leurs traductions aux XXe et XXIe siècles ».