Les textes de création ou de réflexion soumis au comité de lecture ne doivent pas dépasser 3000 mots. Nous demandons à nos collaborateurs de bien lire le protocole de rédaction ci-dessous avant de nous faire parvenir leurs textes, en format .doc ou .docx, à l’adresse suivante : contact@lecrachoirdeflaubert.org.

Si vous choisissez de rédiger votre texte en suivant l’orthographe rectifiée, il est important de le mentionner au tout début du document. Autrement, le comité de rédaction révisera votre texte en considérant qu’il respecte l’orthographe traditionnelle. Le Crachoir de Flaubert considère que l’orthographe traditionnelle et la nouvelle orthographe sont toutes deux correctes, mais publie ses documents officiels et autres textes en suivant l’orthographe traditionnelle.

Les textes de création ou de réflexion soumis au comité de lecture ne doivent pas dépasser 3000 mots. Nous demandons à nos collaborateurs de bien lire le protocole de rédaction ci-dessous avant de nous faire parvenir leurs textes, en format .doc ou .docx, à l’adresse suivante : contact@lecrachoirdeflaubert.org.

Si vous choisissez de rédiger votre texte en suivant l’orthographe rectifiée, il est important de le mentionner au tout début du document. Autrement, le comité de rédaction révisera votre texte en considérant qu’il respecte l’orthographe traditionnelle. Le Crachoir de Flaubert considère que l’orthographe traditionnelle et la nouvelle orthographe sont toutes deux correctes, mais publie ses documents officiels et autres textes en suivant l’orthographe traditionnelle.

Mise en page

– caractère facilement lisible (Arial, Times New Roman ou Georgia), 12 points;

– interligne un et demi ou double;

– les citations de plus de trois lignes sont mises en retrait dans le texte (retrait de 3,75 cm à gauche, pas de retrait à droite);

– les mots de langue étrangère (autre que le français), les inventions langagières, les expressions ou les concepts ayant une référence précise sont en italiques dans le texte, tout comme les titres des œuvres citées;

– utiliser des guillemets français (« ») en tout temps, sauf pour les citations à l’intérieur d’une première citation, pour lesquelles on utilise les guillemets anglais (« comme dans cette “citation”, par exemple »);

– ne pas apposer d’espace insécable devant un point virgule, avant et après les parenthèses ou avant les points d’exclamation ou d’interrogation;

– on appose un espace insécable avant et après les guillemets et avant le deux-points;

– le tiret cadratin (—) doit être utilisé pour introduire les répliques d’un dialogue; le tiret demi-cadratin (–) sert à introduire les proposition incises, et on l’utilise avec des espaces insécables, comme dans l’exemple qui suit : « Ce violoniste – et la critique l’affirme aussi – est excellent. »

– éviter le caractère gras et les mots en majuscules. Pour attirer l’attention sur un mot ou une expression, utiliser l’italique.

Références bibliographiques et notes de bas de page

Les références pour les citations dans le texte doivent être incorporées selon les normes de la Modern Language Association (MLA), soit en fournissant, à la suite de la citation entre guillemets, le nom de l’auteur du texte cité, l’année de publication du texte cité et le numéro de la ou des pages où se trouve la citation. Par exemple :

« Ce matin, j’ai lu dans un journal européen que je n’étais pas ici. Je n’ai guère été surpris parce qu’il y a quelque temps, j’ai entendu dire que j’avais emporté les meubles, les livres, les disques et les cadeaux du palais dont m’a fait cadeau Fidel Castro, et que je faisais transiter par une ambassade l’original d’un terrible roman contre la révolution cubaine » (García Márquez, 2012 : 75).

La référence bibliographique complète doit être fournie dans la section « bibliographie » se trouvant à la fin du document.

Il n’est pas nécessaire de fournir le nom de l’auteur du texte cité dans le cas où cette information a été fournie plus tôt dans la phrase. Par exemple :

Éric Dupont écrit à propos de la ville de New York qu’elle donne à ceux qui la visitent « la preuve irréfutable, éternelle et enivrante de [leur] propre existence » (2012 : 496).

On distingue les renvois multiples à des textes d’un même auteur publiés au cours d’une même année en utilisant des lettres minuscules après l’année de publication (2009a, 2009b).

Les notes de bas de page doivent être employées afin d’apporter des précisions supplémentaires ou encore d’indiquer une référence complémentaire. Elles doivent être limitées au minimum et servir à ajouter des références importantes pour suivre le propos et pour préciser des détails pertinents afin de soutenir l’argumentation du texte.

En ce qui concerne la rédaction de compte rendu critique, les références pour les citations dans le texte provenant de l’ouvrage recensé doivent être incorporées dans le texte : il doit alors être écrit entre parenthèses le numéro de la page; l’abréviation p. sera alors utilisée. Par exemple :

À ceux qui affirment, tout comme Flaubert, que c’est la tête qui écrit, Alain Bernard Marchand ose répondre qu’il est faux de prétendre que « son corps ne serait là que pour tenir sa tête, et [que] sa tête aurait le privilège de l’invention » (p. 37).

modèle à suivre pour les références bibliographiques

Voici le modèle à suivre pour les références bibliographiques complètes à inclure en fin de document :

Ouvrage :

NOM, Prénom, Titre de l’ouvrage, Ville, Éditeur, « collection s’il y a lieu », Année.

Exemple : ERNAUX, Annie, L’écriture comme un couteau. Entretien avec Frédéric-Yves Jeannet, Paris, Stock, 2003.

Ouvrage collectif (2 auteurs ou plus) :

NOM, Prénom et Prénom NOM [dir.], Titre de l’ouvrage, Ville, Éditeur, « collection s’il y a lieu », Année.

Exemple : GOSSELIN, Pierre et Éric LE COGUIEC [dir.], La recherche création : pour une compréhension de la recherche en pratique artistique, Québec, Presses de l’Université du Québec, 2006.

Article dans un périodique :

NOM, Prénom, « Titre de l’article », dans Titre de la revue ou de l’ouvrage, volume le cas échéant, numéro le cas échéant, (NOM, prénom du/des directeur/s [dir.], titre du dossier), Ville (le cas échéant), date, numéros des pages.

Exemple : SAINT-GELAIS, Richard, « “Je le quittai sans qu’il eût achevé de la lire”. Lecture, relecture et fausse première lecture du roman policier », dans Tangence, numéro 36 (GERVAIS, Bertrand [dir.], La lecture littéraire), mai 1992, p. 63-74.

Texte dans un ouvrage collectif :

NOM, prénom, « Titre de l’article », dans NOM, prénom du/des directeur/s [dir.], Titre de l’ouvrage, Ville, Éditeur, « collection s’il y a lieu », date, numéros des pages.

Exemple : HAMZAOUI-ADOUAMA, Coralie, « La photo numérique comme révélateur de la transparence et de l’opacité du genre », dans PAQUET, Bertrand [dir.], Faire œuvre. Transparence et opacité, Québec, Presses de l’Université Laval, 2009, p. 97-104

Site web :

NOM, Prénom (si disponible), « Titre de l’article ou de la section du site web », dans Titre du site, date de publication (si disponible), [en ligne]. Url (Page consultée le [date de consultation]).

Exemple : LEMMENS, Kateri, « Pile et face : l’essai littéraire, pensée et création », dans Le Crachoir de Flaubert, 7 janvier 2013, [en ligne]. http://www.lecrachoirdeflaubert.ulaval.ca/2013/01/pile-et-face-lessai-litteraire-pensee-et-creation/ (Page consultée le 17 janvier 2013).

Thèse de doctorat ou mémoire de maîtrise :

NOM, Prénom, « Titre », thèse ou mémoire, Département, Université, année.

Exemple : ALLARD-GENDRON, Évelyne, « Funambules, suivi de Écrire la marginalité : choix narratifs pour une démarginalisation des personnages », mémoire de maîtrise, Département des littératures, Université Laval, 2011.