Quand le corps et le texte mentent : poétiques du vrai et du faux
Quelle est la part de caché, de contourné, dans une œuvre qui puise dans une expérience autobiographique ? Pourquoi éprouve-t-on parfois le besoin de l’esquive, de la dissimulation, du faire-semblant, et en quoi le geste, dans ces cas précis, peut-il prendre le relais des mots ? Réflexion en deux temps.