Entre le fossé et la bande rugueuse
t'as toujours eu la clutch trop prime moé je faisais crisser les wipers sur mes espoirs de ti-cul
t'as toujours eu la clutch trop prime moé je faisais crisser les wipers sur mes espoirs de ti-cul
la lumière jaune permet de tenir d’avoir à tenir à soutenir l’eau froide épaissit la surface de ses feuilles froides de tenir d’avoir à tenir d’avoir à soutenir la montée de
Ton souffle m’écrase me pèse as fuck me tue un peu plus chaque nuit je suis la fille détruite par le vent de ta bouche de tes poumons tués par la fumée de tes smokes
ma voix dévie la marche sur le territoire des bêtes aux pieds vêtus d’oiseaux aveugles
Leur rythme aléatoire est l’origine insulaire Qui rédige le pont poétique brumeux en noir et blanc En haut les aigles articulent les rayons du papier en fragments L’ode inachevée noircit le néant ensoleillé de la musique
Effluves embrumés Rassurent le grand désert Le ciel se lamente, Irrigue les dunes Le sable s’écoule …
Ta surface transie est ébréchée Par ces crevasses qui apparaissent sournoisement Le long de ta colonne Tu es un sablier impossible à retourner
Vas-y ma grande, dis-moi ce qui te court dans la tête Il doit bien y en avoir là aussi, Des ombres en dentelles.
Le temps S’alimente à même La substance précieuse De nos corps amnésiques
surtout ne pas perdre l’équilibre