Collaborateurs

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Jessica Leichovitch -1 post

Jessica Leichovitch est née à Paris sans jamais y avoir vécu. Un témoin de son parcours l'a un jour surnommée « la surfeuse apatride ». Amusée par cette image, Jessica convient qu'elle s'est laissé porter d'un pays à l'autre, jusqu'à son arrivée au Québec où elle demeure depuis plus de douze ans. La littérature a toujours occupé une place importante dans ses bagages. Même lorsqu'elle part en longue randonnée, où chaque gramme de matériel est compté, un livre doit l'accompagner.

Jessica Savoie -1 post

Originaire du Centre-du-Québec, Jessica a vécu quelques années en Ontario avant d’élire domicile à Gatineau. Après un premier baccalauréat en traduction, puis un second en lettres françaises, elle poursuit actuellement sa formation en littérature à la maîtrise dans le but de devenir enseignante au niveau collégial. Ce qui la fait vibrer? L’alliage hétéroclite de mots dont seule la combinaison peut représenter la vie d’aussi près et l’alliance de ces mots à différentes formes d’art pour en exprimer toute la beauté. jsavo101@uottawa.ca

Jim Gagnon -2 posts

Jim Gagnon est le pseudonyme de l’auteur qui a créé ce personnage lors du projet Huis clos à ciel ouvert, pendant la Nuit de la création. Il se plaît à dire qu’il est né à Jonquière en 1985, qu’il a étudié les lettres hispaniques à l'Université nationale autonome de Mexico, et que, dans le cadre de son projet de mémoire, il s'intéresse à la survivance des idées borgésiennes dans l'imaginaire populaire.

Joan Sullivan -1 post

Joan Sullivan est photographe, artiviste et fermière habitée par le réchauffement planétaire. Elle vit et travaille dans le Bas-Saint-Laurent, où le fleuve Saint-Laurent inspire son œuvre. Depuis ses études en pratique artistique à l'UQAR, elle est à la recherche d'un langage visuel non-narratif, où les faits scientifiques sont ensuite portés par l'intuition. Ambiguës et oniriques, ses nouvelles photographies oscillent entre représentation et abstraction, soulignant notre ambivalence collective face aux bouleversements écologiques et climatiques. Blogueuse en anglais, elle est fière de cette première publication en français.

Joanie Lemieux -1 post

Joanie Lemieux vient de terminer une maîtrise en recherche-création et partage son temps entre l’écriture et l’enseignement de la littérature au collégial. En 2013, elle a fait partie des lauréats du concours international de création littéraire du Prix du jeune écrivain de langue française pour sa nouvelle « Sous le grand X » et a été finaliste au Prix de la bande à Mœbius pour sa nouvelle « Sugarwind ». Son premier ouvrage, Les trains sous l'eau prennent-ils encore des passagers?, est paru en 2015 aux éditions Lévesque.

Joël Beddows -1 post

Joël Beddows est professeur au Département de théâtre de l'Université d'Ottawa. Originaire de Sturgeon Falls, il oeuvre en tant que metteur en scène, traducteur, chercheur et professeur. Il a soutenu un mémoire de diplôme d’études approfondies en 1997 à l’Institut d’études théâtrales (Paris III – La Sorbonne Nouvelle) sur la traduction du texte shakespearien au Canada et une thèse de doctorat en 2002 au Graduate Centre for the Study of Drama à la Toronto University sur l’histoire du théâtre franco-ontarien. Reconnu pour son engagement envers les artistes franco-ontariens en émergence, il a longtemps assumé la direction artistique du Théâtre la Catapulte. En 2006, il a obtenu une Chaire de recherche sur la francophone canadienne (pratiques culturelles) et étudie actuellement le rapport entre la mise en scène et les autres formes d’art dans le cadre d’un projet de recherche pratique. Il est récipiendaire de plusieurs prix pour son travail de mise en scène.

Jordan Clayton -1 post

Jordan Clayton, artiste multidisciplinaire émergent, travaille principalement avec les médias visuels. Il a obtenu en 2014 un baccalauréat en beaux-arts de l’Université d’Ottawa avec une spécialité en peinture et en dessin. Il est représenté par la galerie en ligne NewBloodArt Canada et collabore à l’occasion avec Ottawa RAW, un collectif d’artistes multidisciplinaires indépendants. Son exposition solo la plus récente, intitulée Contagion, a eu lieu au 327 Wine Bar à Ottawa. Sa dernière exposition collective, Génération Visuelle, s’est tenue au Centre d’artistes Voix Visuelle, à Ottawa. Il s’agissait d’une soirée d’exposition d’œuvres d’artistes émergents organisée le 12 juin 2014.

José T. Ramirez -3 posts

Étudiant au doctorat en linguistique à l’Université Laval, José T. Ramírez, alias Trino, a toujours eu un penchant décidé pour la création littéraire. Dans cet esprit, il a publié des textes dans les numéros 42 et 43 de la revue L’écrit primal. Il a travaillé comme auxiliaire d’enseignement au Département de langues, linguistique et traduction de l’Université Laval à l’hiver 2011. jose.ramirez.1@ulaval.ca

Josée Ratté -2 posts

Josée Ratté est étudiante à l'Université Laval à la maîtrise en recherche-création  sous la supervision d’Alain Beaulieu. Son mémoire de recherche se décline en deux sections, l’une comprenant une réflexion de la place du suicide dans la littérature et l’autre prenant la forme d’un roman ayant pour thème central le suicide. Très impliquée dans son milieu, elle porte plusieurs chapeaux qui lui permettent de relever différents défis. Tout d’abord, elle est journaliste pour le journal étudiant de son université, Impact Campus, ainsi qu’Intercom magazine, journal des étudiants en communication. Elle dirige des ateliers d’aide en français au Cégep de Sainte-Foy, fait du tutorat au Cégep Limoilou et enseigne le français langue seconde.

Juli Dutil -1 post

Après avoir frayé à travers plusieurs écosystèmes, Juli Dutil est maintenant inscrite au DESS en création littéraire à l’Université Laval et habite la basse-ville de Québec. Elle aborde l’écriture comme acte de création depuis peu, et s’y retrouve en posture de bouleversement et de vulnérabilité, devant (ou derrière) une voix fébrile et féconde. Elle explore l’autofiction – sa relation aux autres (surtout les autres masculins) et celle à sa santé mentale – et le récit de filiation – tel une épopée de désoubli.  En gros, elle écrit surtout d’elle-même, finalement. Et des fois elle tricote.