Collaborateurs

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Maude Pilon -1 post

Maude Pilon est née en 1983, jaune, autour de Montréal. Elle est peu panoramique. Elle vit en Montérégie. Elle possède une formation en arts interdisciplinaires de l’Université Concordia, en ethnologie de l’Université Laval et complète actuellement des études littéraires à l'UQAM. Depuis dix ans, ses manifestations prennent la forme de performances, de lectures publiques et de livres d’artistes principalement réalisés en contexte de résidences d’auteur. Son premier recueil, Quelque chose continue d’être planté là, paraîtra en mars 2017.  

Maude Paradis -1 post

Détentrice d’une maîtrise en interprétation chant de l’Université de Montréal et étudiante au baccalauréat en études littéraires à l’Université Laval, Maude Paradis s’intéresse aux applications multidisciplinaires de ses différents champs d’activité artistique : écriture, musique et sculpture. Sa pratique artistique l’amène à produire des concerts théâtraux, dont elle conçoit les textes et la mise en scène. Elle travaille présentement à la création de la compagnie « L’opéra de marionnettes du Québec », dont elle est la directrice artistique et la créatrice des marionnettes et des décors.

Maude Déry -10 posts

Maude Déry a complété une maîtrise qui porte sur le langage et les émotions dans la nouvelle intimiste contemporaine. En 2019, elle soutenait sa thèse de doctorat à l’Université Laval, où elle est chargée de cours en création littéraire. Ses travaux traitent du roman du peintre contemporain et de la vulnérabilité comme principe poïétique. Son premier recueil de nouvelles, Sur le fil, est paru à l’automne 2013 aux éditions Triptyque et a été finaliste au Prix des lecteurs Radio-Canada 2014. Elle a également publié des textes de fiction dans différentes revues québécoises, dont Moebius et XYZ, et animé des ateliers de création littéraire pour les bibliothèques et l’Université du troisième âge de Québec.

Maude Deschênes Pradet -15 posts

Maude Deschênes-Pradet est originaire de Québec. Elle enseigne la littérature et la création littéraire à l’Université de Sherbrooke et à l’Université du Québec à Rimouski. Elle s’intéresse, entre autres, à la spatialité littéraire et aux littératures de l’imaginaire. Elle détient un doctorat en littérature et création de l’Université de Sherbrooke, pour lequel elle a bénéficié d’une bourse Vanier. Son premier roman, La corbeille d’Alice, finaliste au prix Senghor 2014, racontait une histoire d’amour impossible, située entre Québec et Dakar. Son deuxième roman, Hivernages, gagnant du prix des Horizons imaginaires 2019, explorait la tendresse et la résilience de personnages singuliers dans un hiver interminable. Son essai Habiter l’imaginaire : Pour une géocritique des lieux inventés a été finaliste au prix Jean-Éthier-Blais 2020. Elle enseigne aussi le yoga.

Maureen Roberge -1 post

Maureen Roberge est étudiante au Conservatoire d'art dramatique de Québec. Elle a complété son baccalauréat en théâtre à l'Université Laval en 2015. Elle s'intéresse à la poésie où l'oralité et la quotidienneté priment.  Sa poésie a été publiée dans L'écrit primal ainsi que le recueil des étudiant.es du Conservatoire. L'été, elle crée des fanzines de poésie dégueulasse avec ses trois sorcières de colocataire et aime beaucoup le quartier Saint-Jean-Baptiste.

Maxime Cayer -1 post

Maxime Cayer poursuit des études à l’Université du Québec à Montréal en création littéraire et en scénarisation cinématographique. Jusqu’à maintenant, il a principalement publié dans des revues universitaires montréalaises. Il aime écrire de la poésie, du théâtre, des scénarios de films, et bien d’autres choses encore. Il est aussi un lecteur assidu, un cinéphile hors-pair et un grand amateur d’art en général.

Maxime McKinley -1 post

Compositeur, Maxime McKinley a étudié à Montréal avec Michel Gonneville et Isabelle Panneton avant de se perfectionner à Paris auprès de Martin Matalon. Il a reçu le prix Opus du Compositeur de l’année pour la saison artistique 2012-2013, le prix d’Europe de composition (2009), ainsi que 11 prix au Concours des jeunes compositeurs de la Fondation Socan (2003-2011). Ses œuvres sont jouées régulièrement au Canada et ailleurs dans le monde, par plusieurs solistes, ensembles et orchestres renommés. Membre du comité artistique de la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ), ses textes ont paru dans diverses revues québécoises, notamment Circuit, musiques contemporaines, dont il a été le directeur administratif et secrétaire de rédaction. Il a été compositeur en résidence à la Chapelle historique du Bon-Pasteur de septembre 2011 à mai 2014. Il travaille présentement à un projet de recherche-création portant sur la musicalité dans l’œuvre du poète Philippe Beck, à la Chaire de recherche du Canada en esthétique et poétique, avec le soutien du Fonds de recherche du Québec sur la société et la culture (FRQSC).

Maxime Beauregard-Martin -1 post

Depuis l’obtention de son diplôme en jeu du Conservatoire d’art dramatique de Québec, Maxime a participé à plus d’une dizaine de productions professionnelles. Sa première pièce, Mme G., a été créée à Premier Acte, reprise à la Bordée en 2018, et publiée à l’Instant même. Sa deuxième création, Marathon, a été présentée au Festival du Jamais Lu à Québec.

Maxime Fiset -1 post

Maxime Fiset se glisse d’un homme endeuillé jusqu’à une adolescente esseulée, d’une verve insolente jusqu’à une virgule maladroite. Lecteur compulsif, il participe à des cercles de lecture et offre sa passion à ses proches. Des voix narratives palpitent dans ses tempes et l’accompagnent depuis sa jeunesse. Titulaire du défunt baccalauréat intégré en littérature et philosophie à l’Université Laval, il est inscrit au certificat en création littéraire afin de leur offrir une scène.

Maxime Plamondon -2 posts

Conteur, auteur et comédien, Maxime Plamondon s’est distingué sur diverses scènes au Québec, en Ontario et en France, dont lors du Festival Québec en toutes lettres, aux 7e Jeux de la Francophonie (2013) ainsi qu’au Manifeste – rassemblement international pour un théâtre motivé (2016). Récipiendaire d’un Prix du patrimoine (2013) et de plusieurs bourses, ses textes ont été publiés dans différents collectifs et revues de création. Son premier roman, Les oiseaux des temps présents, est paru chez Tête première en 2021. On le retrouve à Sudbury, en 2023, lors d’une résidence croisée de création organisée par le Centre franco-ontarien de folklore et la Maison natale de Louis Fréchette, à Lévis. Il collabore aussi régulièrement aux soirées Enfabulation pilotées par les Productions de brousse, à Montréal. Diplômé de l’Université Laval en création littéraire, Maxime Plamondon enseigne présentement la littérature au Cégep Garneau, à Québec.