Simon Harel -1 post

Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Récipiendaire de divers prix, auteur de plus de quarante publications et projets de production audiovisuelle (essais, ouvrages collectifs, fictions, directions de numéros de revues scientifiques, explorations narrative et filmique des mobilités urbaines), il poursuit des travaux dans l’espace montréalais, notamment avec son Laboratoire sur les récits du soi mobile, une infrastructure motorisée de recherche et de création. Simon Harel a une expérience diversifiée de la direction d’équipes et de centre de recherche. Codirecteur du Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal, lauréat de la Fondation Trudeau, il est membre de la Société royale du Canada et corécipiendaire du Prix du Conseil des arts de la communauté urbaine de Montréal (catégorie« Littérature »). Il a reçu au printemps 2012 une subvention de la FCI dans le cadre du programme « Fonds des leaders ». L’obtention de cette infrastructure de recherche, consacrée à l’étude des représentations des nouvelles identités narratives et technologiques de la vie urbaine, le place parmi les contributeurs d’une réflexion en émergence sur les récits du soi mobile. Depuis la publication du Voleur de parcours (1989) jusqu’au récent La rage de Naipaul, essai-dictée (2014), il étudie depuis près de trente ans les modifications de l’identité narrative dans les discours et récits qui traitent des enjeux migratoires. Il a publié à l'automne 2015 Le Quartier des spectacles et le chantier de l'imaginaire montréalais, avec Joël Thibert et Laurent Lussier aux Presses de l'Université Laval.

Simon-Pierre Beaudet -1 post

Simon-Pierre Beaudet habite au Cégep Limoilou, où il a été vaguement étudiant au vingtième siècle, puis permanent de l’association étudiante, pour y finir comme professeur de littérature. On a pu le lire autrefois dans La conspiration dépressionniste et maintenant dans diverses publications chez Moult Éditions, où il a publié notamment Fuck le monde.

Sonia Burns -1 post

À sa retraite, Sonia Burns est revenue vivre dans le Bas-Saint-Laurent, près du fleuve. Elle occupe ses temps libres à diverses activités, dont l’écriture. Elle a toujours aimé écrire pour exprimer son ressenti et souhaite s’y investir davantage. Ce texte se veut le début d’une belle aventure littéraire.

Sophie Marcotte -1 post

Sophie Marcotte est étudiante à la maîtrise en littératures de langue française, volet recherche-création à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse aux liens entre la mémoire indirecte, l’imagination et la filiation. Elle travaillait auparavant comme journaliste de presse écrite dans la région de l’Outaouais après son premier baccalauréat en journalisme et science politique à l’Université d’Ottawa. Depuis, elle écrit occasionnellement pour le Huffington Post et elle a publié quelques textes de création dans les revues Nyx et Caractère.

Sophie Létourneau -1 post

Née en 1980, Sophie Létourneau travaille la narration. Elle a participé à « Je suis le méchant! » (2004), un livre d’entretiens entre les metteurs en scène André Brassard et Wajdi Mouawad. Puis, elle a publié un récit bien reçu par la critique (Polaroïds, Québec Amérique, 2006). On attend prochainement la sortie d’un roman (Chanson française, Le Quartanier, 2013). Docteure en littératures de langue française (Université de Montréal, 2009), Sophie Létourneau est professeure de création littéraire à l’Université Laval (Québec, Canada). Quelques-uns de ses travaux de critique littéraire ont été publiés dans les revues Critique, Études françaises, Études littéraires et les Cahiers Stéphane Mallarmé. sophie.letourneau@lit.ulaval.ca

Sophie Bélair Clément -1 post

Sophie-Anne Landry -3 posts

Sophie-Anne Landry recherche dans ses écrits un moyen de communiquer de façon touchante et poétique des thématiques parfois dures, parfois censurées. Elle se partage entre son rôle de mère, son travail, ses études en création littéraire à l’Université Laval et son écriture. Ses textes se retrouvent dans le Crachoir de Flaubert, le …Lapsus et la revue Bazzart. Lauréate de la mention du Prix Alphonse-Piché 2017, sa suite poétique « Il fera peut-être naissance » vient de paraître chez les Éditions d’Art le Sabord. Sophie-Anne a également reçu une bourse de mentorat de Première Ovation, volet arts littéraires, avec le poète Claude Paradis comme mentor.

Steeve Gobeil -1 post

Stefania Becheanu -2 posts

Stefania Becheanu, née en 1987, est plasticienne sonore et elle travaille autour de paysage sonore. Arrivée en France en octobre 2010, elle commence à travailler en multidiffusion dans l’ARS, l’Atelier de Recherche Sonore, à l’École supérieure d’art de Lorraine (ESAL), dirigée par Eléonore Bak. Par cette expérience, elle commence à envisager d’utiliser le son comme matière plastique. Ses recherches se transposent dans le médium sonore et vers le paysage sonore. Cette année, elle est associée à Atelier de Recherche Sonore à l’ESAL comme artiste-chercheur, après avoir obtenu en 2013 son Diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP) option art (« Paysage sonore, Couloirs sonores, phono-photographie, Danser le sonore ». Elle est également diplômée de la Faculté d’art et Design, option peinture, à Timisoara, en Roumanie. Son travail artistique explore différents thèmes comme ceux de l’identité, du voyage, de la communication, et se décline sur plusieurs médiums comme le son plastique, la peinture, la photographie, l’installation sonore et la performance. À travers sa pratique, elle tente de questionner les liens entre les arts plastiques et sonores. www.stefaniabecheanu.com

Stéphane Ledien -16 posts

Rédacteur, journaliste pigiste, enseignant et doctorant-chercheur en études littéraires à l’Université Laval, Stéphane Ledien est également écrivain de fiction. Il a fait du roman policier et du roman noir ses spécialités. Il termine d’ailleurs actuellement une thèse de doctorat sur l’ironie nihiliste (liée au thème de la corruption) dans le roman noir français du XXIe siècle. En tant qu’écrivain, il a publié des nouvelles noires aux Éditions de la Table Ronde et au sein de XYZ. La Revue de la nouvelle. Il a également signé quatre ouvrages de fiction, dont le roman Sur ses gardes, 1er volume du cycle noir Les Phalanges d'Eddy Barcot (Montréal, Éditions À l’étage, 2015) et le recueil de nouvelles Des trains y passent encore (Montréal, Lévesque éditeur, 2017).