Collaborateurs
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Valérie Yobé -1 post
Valérie Yobé est docteure en sémiologie et professeure agrégée en design graphique à l’École multidisciplinaire de l’image (ÉMI) de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), où elle enseigne depuis 2001. De 2016 à 2019, elle en fut également la directrice. Valérie Yobé détient le titre de designer graphique agrée remis par The Association of Registered Graphic Designers (RGD). En 2014, elle crée l’organisme à but non lucratif la tribu grafik. Par des activités de commissariat, la création de collaborations entre praticiens et chercheurs, la réflexion critique, la tenue d’ateliers, ici et avec l’étranger, la tribu grafik conçoit et produit des projets de recherche et de création permettant de repenser les usages du graphisme, décloisonner les pratiques, innover socialement et culturellement. Depuis 2020, elle siège sur The Education Committee de l’Association of Registered Graphic Designer-Canada (RGD), dont elle détient une certification (Certified Registered Graphic Designer). Elle est également membre du Education Committee de ladite organisation.
Valérie Forgues -16 posts
Détentrice d’une maîtrise en études littéraires de l’Université Laval, Valérie Forgues est autrice et directrice littéraire chez Le lézard amoureux. Lauréate de la mention du prix Piché de Poésie en 2009 pour sa suite, Ce qui se pose, elle est l’autrice de Jeanne forever (avec Stéphanie Filion), d’Une robe pour la chasse (2018 et 2015, Le lézard amoureux) et de Janvier tous les jours (2017, Hamac).
Vanessa Berger -4 posts
Vanessa Berger déteste les compromis qu’elle qualifie d’ignominies. Parfois enseignante mais toujours nomade, elle joue avec les mots dont elle se sert pour s’ancrer temporairement quelque part. Elle étudie présentement la création littéraire à l’Université Laval qui – elle le sait maintenant – n’est pas à Laval. Un jour, elle mettra de l’ordre dans sa vie. En attendant, elle écrit.
Véronique Bisson -1 post
Véronique Bisson est diplômée d'un certificat en création littéraire, d'un baccalauréat et d'une maîtrise en études littéraires de l'UQAM. Pendant son parcours académique, elle a publié quelques textes poétiques dans la revue Main Blanche. Elle a également publié une nouvelle intitulée « J'entends les murs murmurer » dans la revue Zinc en 2007. Après un séjour de trois ans en France, elle entreprend, en 2017, une maîtrise en enseignement à l'UQAM afin d'obtenir son brevet d'enseignement. Depuis un an, elle est enseignante en francisation au Centre d'éducation des adultes Champlain pour la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys.
Véronique Langlais -2 posts
Véronique Langlais est depuis peu détentrice d’un diplôme en études littératures à l’Université Laval et réalise en ce moment un certificat en rédaction professionnelle. Forte de ces formations, elle ne cesse de collaborer à différents projets dans le milieu culturel de la ville de Québec. Elle a notamment été présidente de l’Association de création et d'études littéraires de l'Université Laval. Pendant sa formation, elle a tenu la barre des communications du Cercle d’écriture de L’Université Laval ainsi que de la revue L’écrit primal pendant 2 ans. Elle a participé à plusieurs comités de sélection pour le CEULa. Elle se passionne notamment pour l’écriture web, c’est d’ailleurs dans cette optique qu’elle a dirigé la revue en ligne L’Élite en 2012. Elle travaille présentement pour L’Institut Canadien de Québec dans le réseau des bibliothèques de la Capitale. Elle anime le Cercle d’auteurs de la relève pour Première Ovation. Elle est, depuis 2014, membre fondateur du collectif de poésie Exond& qui a inauguré le dernier Printemps des poètes avec son spectacle « Le Déjectoire ».
Véronique Voyer -1 post
Véronique Voyer aime faire du pain et du théâtre dans l’exaltation de deux billets d’avion achetés la vieille au soir. Journaliste et universitaire, elle campe sur des territoires interdisciplinaires et guète l'avenir sur des terres étrangères.
Victor Bégin -1 post
Bachelier en écriture de scénario et création littéraire, Victor Bégin s’intéresse autant au cinéma qu’à la littérature. Réalisateur de courts-métrages, il dirige aussi la revue Nyx, dont il est un des membres fondateurs. Sur les réseaux sociaux, on peut le connaître sous le nom de Poésie d’espionnage, un blog littéraire poétique. Au théâtre, il a conçu et réalisé les projections de la pièce My secret garden. Il publie de la poésie et des nouvelles dans les revues Revue Méninge, L’Organe, Cavale, Saison Baroque et autres. Présentement, il poursuit ses études à la maîtrise en cinéma.
Vincent Mauger -6 posts
Vincent Mauger est étudiant au doctorat sur mesure en design et cyberculture à l’Université Laval, sous la direction de Renée Bourassa et Samuel Archibald (UQAM). Chargé de cours à l’Université Laval, il a aussi enseigné à l’Université de Montréal de même qu’à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Ses leçons portent sur la scénarisation cinématographique, multimédia et vidéoludique ainsi que sur la réalisation de jeux vidéo. Ses principaux intérêts de recherche comprennent la conception du récit et de la fiction en contexte vidéoludique, la transmédialité, de même que l’épistémologie du design en tant que discipline et pratique interdisciplinaire. Responsable pendant plusieurs années de la mise en forme de la revue de création littéraire L’écrit primal où il s'est commis à quelques reprises, sa première contribution universitaire a été publiée en 2011 aux Cahiers du Gerse (PUQ). Il a récidivé depuis dans The Encyclopedia of Video Games: The Culture, Technology, and Art of Gaming, aux Cahiers virtuels du laboratoire NT2, dans The Routledge Companion to Video Game Studies ainsi que dans les revues Nouvelles « vues » sur le cinéma québécois et Mémoires du livre. Il a récemment co-dirigé la revue Kinephanos vol. 4 n° 1 : « Média, fans et sacré: un sentiment néoreligieux, à la recherche d’une institution / Media, Fans, and The Sacred: Neoreligiosity Seeks Institution ». vincent.mauger@design.ulaval.ca
Vincent C. Lambert -4 posts
Poète, critique, anthologiste, Vincent C. Lambert a récemment publié La fin des temps par un témoin oculaire aux éditions de l'Hexagone. Il prépare un ouvrage d'ensemble sur l'histoire littéraire du Québec, Mon pays est un rêve éveillé. Il a déposé une thèse de doctorat sur la poésie québécoise et la reconnaissance du lieu (1860-1930) et est présentement chercheur postdoctoral à l’Université du Québec à Montréal.
Violaine Houdart-Merot -1 post
Violaine HOUDART-MEROT est professeure de littérature à l’Université de Cergy-Pontoise et directrice du CRTF (Centre de Recherche Textes et Francophonies). Elle est responsable, au sein du CRTF, du pôle LTDI (Littérature, Transmission littéraire et Dialogues Interculturels). Ses domaines de recherche concernent trois axes principaux. Tout d’abord la culture littéraire, la notion de patrimoine et sa transmission (elle a publié en particulier La culture littéraire au lycée depuis 1880, PUR, 1998). Ses recherches actuelles, à l’intérieur de cet axe, portent sur les ateliers d’écriture littéraire à l’université (voir le réseau « Pratiques d’écriture à l’université » qu’elle coordonne avec Anne-Marie Petitjean). Elle mène par ailleurs des réflexions plus théoriques sur la littérature : intertextualité, obliquité et interprétation (dans ce cadre, elle a publié notamment avec Max Butlen Interpréter et transmettre la littérature aujourd’hui, 2009 et, avec C. Blanchaud, Écritures du secret en 2009. Enfin, elle s’intéresse aux dialogues interculturels et aux « écritures babéliennes ». Dans ce dernier axe, ses travaux portent plus spécifiquement sur le théâtre, avec des études sur Antonin Artaud, Molière, B.M. Koltès, Aziz Chouaki et les « écritures babéliennes » au théâtre, Valère Novarina, Franketienne et enfin Ariane Mnouchkine. Dans ce cadre, elle a publié notamment Écritures babéliennes (Peter Lang, 2006). vhmerot@yahoo.fr