Cet article est tiré d’une communication présentée lors de l’édition 2017 du Forum interuniversitaire des étudiants et étudiantes en création littéraire.

Dormammu, I’ve come to bargain!
Doctor Strange

En 1992, l’Amérique est en deuil. Elle pleure l’une de ses figures les plus emblématiques, quoique fictive : Superman meurt des suites d’une violente lutte contre Doomsday, dans le comic book intitulé The Death of Superman. Un lecteur écrit à ce sujet que « l’air semble un peu plus froid. La nuit un peu plus sombre. Les gens un peu plus tristes. Quelque part, un jeune homme fixe le ciel nocturne et une larme solitaire coule le long de sa joue. La perte d’une idole. La perte d’un ami » (Jurgens, 1993 : 25). Le public du comic book passe par toute la gamme des émotions propres au deuil, accusant même DC d’être responsable de la chute de Superman dans une visée purement commerciale (Kesel, 1993 : 25). Aussi est-ce moins d’un an plus tard que le surhomme est ressuscité dans une suite invraisemblable de revirements de situation. Par la suite, l’univers DC rejouera un scénario semblable avec d’autres superhéros, Green Arrow et Jason Todd (le second Robin) notamment.

Avec l’augmentation draconienne du nombre de films adaptés de comics étasuniens (principalement de Marvel et de DC, mais nous pouvons aussi penser au Turbo kid québécois), la figure du superhéros s’impose de plus en plus dans l’imaginaire collectif, dépassant largement la fanbase traditionnelle. À ceci se conjugue la montée des pop studies, et plus particulièrement des recherches découlant de l’article « Le mythe de Superman » d’Umberto Eco. Dans mon actuel travail de création, Le Crépuscule d’Efrit – qui n’en est qu’à ses balbutiements –, je propose une déconstruction de la figure du superhéros à travers la mort d’un héros de ma création : Efrit. Dans cette présentation, j’aborderai les enjeux liés au temps du récit, plus précisément l’opposition entre le temps cyclique du comic book et le temps largement linéaire du roman, aux rapports entre la figure du superhéros et le commun des mortels ainsi que les différents questionnements apparus au fil d’une réflexion impliquant le passage de thèmes propres à la BD de genre vers le roman. J’unifierai le tout par la réflexion initiale qui a enclenché mon projet d’écriture : comment se vivent la mort et le deuil dans un univers habité par un superhéros ?

Véritable reprise étasunienne du surhomme, ce « héros positif qui doit incarner, au-delà de toute limite, les exigences de puissance que le citadin ordinaire nourrit sans pouvoir les satisfaire » (Eco, 1993 : 113), existe dans un univers où le temps est problématique. « Chez Superman, […], le temps qui est mis en crise est le temps du récit, c’est-à-dire la notion de temps reliant un récit à l’autre. […] Si [le comics] reprenait Superman au point où elle l’avait laissé, notre héros ferait un pas vers la mort » (Eco, 1993 : 124). Certes, les personnages évoluent et s’ancrent temporellement dans le temps de l’écriture – il suffit de comparer les anciens films du superhéros aux plus récents pour constater un déplacement du cadre temporel du récit –, mais le héros en lui-même n’évolue pas, ou très peu. Car, s’il le faisait, l’absurdité même de la situation apparaîtrait au lecteur (rappelons que le premier comic book de Superman date de 1938, impliquant qu’il a depuis, presque 80 ans, l’âge de 34 ans). Pour répondre à cette contradiction, les écrivains reprennent continuellement le fil de l’histoire afin de créer un flou temporel permettant d’ajouter indéfiniment des aventures à la trame sans préciser son rapport exact aux récits précédents (Eco, 1993 : 124-125). L’effet de causalité disparaît donc de ces récits pour faire place à une cyclicité se passant de toute évolution narrative. S’oppose donc la trame causale traditionnelle du roman qui, depuis qu’Aristote a théorisé le temps comme « le nombre du mouvement selon l’antérieur et [le] postérieur » dans son quatrième livre, La physique, et que Kant s’est attardé sur le principe de causalité, propose une lecture où l’immuable mouvement du temps organise le récit. Le roman policier illustre bien cet impératif de causalité : tout en présentant une trame narrative qui cherche à retracer les événements précédant et menant au meurtre, le temps peut être reconstitué en une ligne distincte et simple.

Empruntant la figure du superhéros au comic book pour l’intégrer dans un projet romanesque, je suis confronté à cette divergence temporelle. Certes, il semble facile d’éviter cette question entièrement en se posant d’emblée dans le récit causal et linéaire propre au roman, mais cette option repousse l’une des principales caractéristiques de la BD de genre. Mon premier réflexe fut d’imaginer un univers dans lequel pourrait vivre un superhéros. Considérant le calque évident de grandes villes que l’on retrouve largement dans des œuvres comme Superman et Batman, j’ai décidé d’ancrer mon récit dans un Montréal fictif. Une fois cette décision prise, j’ai mis en place une chronologie incluant mon superhéros : dans une période s’étirant de 1989 à 2012, Efrit serait dévoilé au monde, sauverait la ville à de multiples reprises, se retirerait quelques années à la suite d’un traumatisme, reprendrait du service et mourrait dans un combat grandiose. Avec le recul, ce choix m’obligea à réfléchir au superhéros non dans une optique cyclique, mais bien linéaire. Un compromis m’est alors venu à l’esprit : ne pouvant – ou ne voulant pas – échapper à une temporalité causale, j’utiliserais toutefois un dispositif récurrent du comic book – la forme épisodique – pour former un roman par nouvelles. Mon désir de déplacer la focale du superhéros vers le commun des mortels crée un potentiel immense de protagonistes tout en offrant une large période temporelle dans laquelle les inscrire et une trame de fond – la présence d’Efrit dans leur quotidien – qui unifie le tout.

Pour revenir à la mort, qui lie thématiquement une grande partie de mon travail de création, force est de constater qu’elle se conçoit comme un point de non-retour narratif, car elle implique le passage d’un état A à un état B. Pour reprendre les termes du philosophe Vladimir Jankélévitch, « [l]e souci du futur exprime en toute dernière analyse le présent-à-venir de la mort, puisque la mort est le suprême avenir et le futur de tous les futurs » (Jankélévitch, 1977 : 51). Le superhéros y est continuellement confronté, car elle seule constitue un réel obstacle à sa toute-puissance. D’où la création de supervilains à l’image même de la mort – Doomsday (The Death of Superman) n’est au fond qu’une machine à tuer dont les actions se posent comme une finalité en soi. Les enjeux sont donc immenses et l’échec, terrible; la mort « est, dans le temps, cessation de la continuation : elle est donc tout simplement cessation d’être – car il va de soi qu’être et continuer d’être sont une seule et même chose » (Jankélévitch, 1977 : 76). À ce sujet, le sociologue Jean Ziegler note une « dissymétrie profonde […] entre la mort certaine du corps et la mort incertaine de la conscience » (Ziegler, 1975 : 291). Chez l’être humain, Ziegler détaille la montée spectaculaire des capacités du corps jusqu’au moment charnière de la vingtaine, puis son dépérissement. La pensée, quant à elle, commence plutôt sa réelle progression au début de la même tranche d’âge et se poursuit tout au long de la vie. Elle en vient donc à être consciente que son support physiologique – car le sociologue propose bien une dichotomie corps-esprit dans son livre Les vivants et la mort – défaillira éventuellement et l’emmènera avec lui dans sa fin. Les univers DC et Marvel jouent avec cette vision, et plus précisément avec le sentiment que « la mort est perçue comme un agresseur. Pour la conscience, il n’existe pas de mort naturelle. Toute mort est un assassinat » (Ziegler, 1975 : 296). En incarnant ce passage de la vie vers la non-vie à travers une figure de chair et d’os, en lui donnant un visage, non seulement les dessinateurs et auteurs de comic books en font-ils un ennemi évident, mais ils offrent la possibilité, aussi minime soit-elle, de pouvoir vaincre la mort. Elle y est source de fierté et, si elle venait à avoir le dessus sur le superhéros, il n’en est pas moins emblématique de mourir des mains de la mort directement, dans un dernier sursaut de puissance.

Le cas de Captain Marvel me semble un bon contre-exemple à présenter. À la suite de l’exposition à un gaz neurotoxique, le protagoniste, dans la BD The Death of Captain Marvel, se rend compte qu’il est atteint d’une version mutée du cancer, résistante à toute médecine potentielle. La mort ne provient ici pas d’un combat héroïque, elle est plutôt une lente dégradation au cours de laquelle ses compatriotes, et même ses ennemis, viendront lui manifester leurs respects. Cette mort inévitable plonge Captain Marvel dans un état de pure terreur – comme le fait remarquer Jean-Pierre Thomas dans son excellent article « Death in Superhero Comic Books » – état qu’il énonce gravement :

[blocktext align= »gauche »]Tout le monde va mourir un jour. Ou pensais-je que je suis unique? Oui, mais je crois que c’était là le problème : je n’ai jamais cru que cela pourrait m’arriver. Dans mon for intérieur, j’ai cru que ces choses qui me rendaient spécial me permettraient de vivre pour toujours. C’est difficile d’accepter que la Terre va continuer de tourner sans moi. Merde. (Starlin, 1982 : 36)[/blocktext]

Ces propos donnent une touche particulièrement humaine au superhéros, en lui faisant vivre les émotions propres à une mort incontournable et abstraite. Confronté à l’impuissance du simple individu à défier la mort, Captain Marvel rencontre Thanos et la Mort dans son dernier souffle, qui tout deux l’accompagnent dans le trépas. Ce passage vers la non-vie ne l’empêche toutefois pas, encore aujourd’hui, de participer à l’univers Marvel, que ce soit de son poste dans le monde des morts ou par sa résurrection dans Chaos War.

Superman, comme je l’ai détaillé en début de présentation, revient lui aussi à la vie, à peine un an après sa mort. Il a littéralement battu la mort, tuant le dangereux Doomsday tout en survivant aux blessures qui l’ont bel et bien tué, quoique seulement temporairement. Son cas n’est pas unique et est devenu un outil commun des multivers DC et Marvel. Le meilleur exemple de cette boucle reste sans contredit l’une des scènes finales du récent Doctor Strange, dans lequel le protagoniste utilise une boucle temporelle pour négocier avec Dormammu, une entité extradimensionnelle voulant contrôler la Terre. Cette boucle reprend la séquence « arrivée de Strange, court dialogue, meurtre de Strange, résurrection » maintes et maintes fois, jusqu’au moment où le supervilain accepte les conditions du Docteur et que celui-ci mette fin au cycle. Plus largement, le site TVTropes parle de l’expression Death is Cheap pour exprimer ce rapport différent à la mort :

[blocktext align= »gauche »]la tendance des personnages importants à mourir dans des circonstances dramatiques, mais qui, sous aucune circonstance, ne peuvent rester mort. Cette tendance réduit la valeur de la mort jusqu’à n’être qu’un simple artifice narratif qui perd tout effet dramatique par sa surutilisation.[/blocktext]

L’utilisation de ce procédé aujourd’hui ne surprend plus. Au mieux, il crée une controverse passagère par principe. Dans les faits, il constitue plutôt un pacte implicite entre le lecteur et l’auteur : « [h]abituellement, quand Marvel ou DC Comics tue l’un de ses personnages, ils le font en promettant que, cette fois-ci, le héros ne reviendra pas. La promesse est vide, le lecteur le sait bien, mais la performance persiste, puisque la maison d’édition ne veut pas miner la légitimité d’un tel événement » (Ackerman, 2014).

Le choix de mon titre, Le crépuscule d’Efrit, reflète cette position face à la mort du superhéros : le crépuscule est à la fois la fin du jour, et par extension d’une forme de vie, alors que sa répétition, jour après jour, réduit le spectacle à une banalité. Comparativement aux comic books offrant des explications complexes quant à la résurrection de leur protagoniste, j’ai opté pour une mort définitive d’Efrit des suites d’un combat, mort que je revisiterais à quelques reprises au fil des nouvelles. À ce titre, mon prologue semble assez annonciateur du projet : en présentant le décès par la médiation de la télévision – le dernier souffle d’Efrit est retransmis en direct aux nouvelles du soir –, le public intradiégétique atteint par l’annonce est multiple. Je me servirais par la suite de ce moment phare pour orienter certains discours, jumeler cette chute avec celle d’une autre trame narrative ou comme point de départ d’un récit. L’ordre des nouvelles à l’intérieur du roman participera activement à l’aspect cyclique de la mort et de la résurrection du superhéros. Pleurant le décès d’Efrit à la fin d’une nouvelle, le lecteur sera confronté à sa « résurrection » dans la nouvelle suivante, qui aura lieu chronologiquement des années plus tôt. J’ai l’intention de faire se côtoyer l’apogée et la déchéance du superhéros afin d’offrir une image complexe et tridimensionnelle d’Efrit, que j’ai créé comme un être animé d’ambitions diverses et de motivations floues.

Dans un comic book, ce n’est pourtant pas le problème du seul superhéros que d’affronter quotidiennement la mort. La population de villes comme Metropolis ou Gotham vit pratiquement en zone de guerre : les ennemis, plus puissants les uns que les autres, rôdent dans l’ombre pour s’attaquer aux innocents et mettre un frein au monde tel que nous le connaissons. Si le dessein avoué d’une bonne partie des supervilains consiste à tuer par pur plaisir, pour faire le mal, les superhéros participent bien malgré eux à la perpétuation de ces crimes. Car quelle scène de combat mériterait sa place dans les annales de la BD de genre sans la destruction, au moins partielle, de la ville dans laquelle réside le protagoniste? Et même si le superhéros se pose en sauveur de la population, il laisse derrière lui une trace sanglante. À titre d’exemple, toujours dans The Death of Superman, Clark Kent attrape une auto lancée dans les airs par Doomsday et la repose doucement, sauvant ainsi la vie du conducteur dans un acte le retardant dans son combat contre le vilain. Quelques pages plus loin, un présentateur de nouvelles annonce que « [l]a force destructrice connue sous le nom de “Doomsday” a laissé plus de trente morts dans son passage… des centaines d’individus ont été blessés, incluant des membres de la fameuse Ligue des justiciers » (Jurgens, 1992 : 88). C’est la seule mention de ces hommes et ces femmes mort•e•s dans un combat dont ils ne sont que les dommages collatéraux. Dans le premier cas, le civil sauvé sert à montrer l’héroïsme que conserve Superman : même en temps de crise, il prend quelques secondes pour sauver les faibles et les innocents de la violence du vilain. Dans le deuxième cas, les nombreuses morts servent de simple indicateur de la puissance destructrice à laquelle a affaire le superhéros. Pour cette raison, le nombre ne peut que croître au fil des pages, car il est impératif de présenter un ennemi à la hauteur du surhomme. En d’autres termes, comment pointer le côté destructeur et la nécessité d’un être surpuissant – plutôt que d’un simple policier ou d’un soldat – autrement qu’en indiquant clairement le péril posé à la race humaine ? De plus, ces êtres n’ont pas le sort aussi glorieux que Superman et tant d’autres. Leur mort, en plus de passer inaperçue, est sans retour.

Avant de continuer sur ces morts anonymes, j’aimerais digresser autour de décès qui ont marqué l’univers de la BD de genre. Ces quelques individus banals méritent, au même titre que les superhéros, une fin digne d’être racontée : les parents de Batman, l’oncle de Spiderman et ainsi de suite. La raison pour cette mise en scène est assez simple – elle façonne la vie du héros et joue un rôle essentiel dans les motivations ultérieures du protagoniste :

[blocktext align= »gauche »]L’expérience de Batman avec la mort joue un rôle majeur dans la création de sa personne. Chaque réécriture des origines du superhéros inclut la scène dans laquelle un jeune Bruce Wayne assiste au tragique meurtre de ses parents. Le lecteur doit comprendre que cette expérience traumatisante l’a dirigé vers le chemin qui le ferait devenir Batman. (Hart, 2008 : 219)[/blocktext]

À ces singulières figures tragiques j’oppose le commun des mortels, à ce seul individu les millions de visages sans nom. Aussi fictif et inventé que mon récit puisse l’être, j’ai choisi de réhabiliter ces voix silencieuses des comic books dans les nouvelles qui formeront mon travail de création. Cette position reflète mon désir de jongler avec les assises plus réalistes de la BD de superhéros, en me concentrant sur le discours des gens qui vivent dans cette ville dangereuse. La figure d’Efrit devient rapidement une excuse pour réfléchir à la banalité de la vie, aux drames quotidiens qui marquent le lot des citoyens ordinaires, bien plus qu’une invention héroïque à exploiter.

Pour l’instant, le dosage entre le commun des mortels et le superhéros reste mon principal souci. Cette présentation en est bien la preuve : malgré ma volonté de parler d’individus comme vous et moi, je reviens toujours à cette figure surhumaine. Lorsque j’en parle à mes collègues, on me pose toujours les mêmes questions : qui est-il réellement? quels sont ses pouvoirs? d’où vient-il? Notre attrait pour le superhéros, ou comme le dirait Eco notre besoin de sublimation dans ce personnage (Eco, 1993 : 113), correspond à notre désir d’échappatoire de la réalité et de recherche d’une satisfaction quasi primale dans la victoire de ces grandes figures protectrices face aux forces du mal. Aussi se trame-t-il dans l’ombre de mon récit. « Ce n’est pas un héros. C’est un ange gardien silencieux. Un protecteur vigilant. Un chevalier noir » (Nolan, 2008), comme le dirait Jim Gordon. Mais, bien plus qu’un simple récit de superhéros, Le crépuscule d’Efrit sera une œuvre aux voix multiples et variées. Une œuvre où les dernières lignes de The Death of Superman résonneront non plus seulement pour le superhéros, mais pour tous ces visages autrefois anonymes :

[blocktext align= »gauche »]Mais les gens se souviendront de ce triste jour comme le jour où le plus fier, le plus noble des êtres humains qu’ils aient connus est finalement tombé. Car pour ceux qui l’ont aimé, qui l’ont appelé mari, qui l’ont appelé ami ou pour ceux qui l’ont appelé fils, il s’agit du plus sombre jour qu’ils peuvent imaginer. (Jurgens, 1992 : 156-161)[/blocktext]

[heading style= »subheader »]Bibliographie[/heading]

Corpus primaire

JURGENS, Dan, The Death of Superman, New York, DC Comics, 1992.

JURGENS, Dan, Superman, No. 77. New York, DC Comics, 1993.

NOLAN, Christopher, The Dark Knight, 2008.

KESEL, Karl, Adventures of Superman, No. 503. New York, DC comics, 1993.

Corpus théorique

ACKERMAN, Spencer, « Beyond Wolverine: the most memorable superhero deaths in comics », dans The Guardian, 2014, [en ligne], https://www.theguardian.com/books/2014/oct/15/wolverine-death-comic-book-superhero, [page consultée le 30 octobre 2017].

ARISTOTE, « Résumé de: la Physique », dans Les philosophes : accélérateur de lecture, [en ligne], https://www.les-philosophes.fr/aristote/les-philosophes-antiques/aristote-physique/Page-4.html [page consultée le 30 octobre 2017].

ECO, Umberto, « Le mythe de Superman », dans De Superman au surhomme, Paris, Grasset, coll. « Biblio essais », 1993, p. 113-146.

HART, David M., « Batman’s Confrontation with Death, Angst, and Freedom », dans ARP, Robert et Mark D. White, Batman and philosophy: The Dark Knight of the Soul, New Jersey, Wiley, 2008, p. 212-224.

JANKÉLÉVITCH, Vladimir, La mort, Paris, Flammarion, 1977.

THOMAS, Jean-Pierre, « Death in Superhero Comic Books », dans HAKOLA, Outi et Sari Kivistö, Death in Literature, Cambridge, Cambridge Scholar Publishing, 2014, p. 269-285.

TvTropes, « Death is Cheap », [en ligne], http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/Main/DeathIsCheap, [page consultée le 30 octobre 2017].

ZIEGLER, Jean, Les vivants et la mort, [e-book], Paris, Édition du Seuil, 1975.