Un bourdonnement vraiment présent dans ton poème
ouvre quand je te charrie pour qu'à coups de soleil je te rentre dedans le troque encastré qui mé crissé dedans a gorge
ouvre quand je te charrie pour qu'à coups de soleil je te rentre dedans le troque encastré qui mé crissé dedans a gorge
L’air absent, il rêve à des lendemains solaires et poissonneux, à des nappes blanches recouvertes de la fougasse, de la pompe à huile et des onze autres desserts provençaux de Noël. Il dessine un soleil sur l’humide buée de la vitre. Qu’est-ce qu’écrire, sinon cela, tracer dans l’air des signes voués à disparaître, sauf dans le cœur et dans la mémoire ?
Là où tous les autres se brûlent dans l’acidité du mal du siècle Là où tous les autres s’évanouissent devant les hurlements des festins nus Lui seul et ses doigts portemanteau réaniment enfin la littérature à refaire
j’irai loin des cathédrales reposer ma tête sur la terre naissante
Quelques oiseaux bleus, un silence devant le lac, l’éclat de la neige sous le soleil, et une chaleur ronde de bon pain se cachent sous ton nom.