Martha : poïétique et vulnérabilité sous tension
Or, dans Martha, les jeux de séduction auxquels se livrent le peintre et sa muse ne conditionnent plus les modalités du rituel de pose, celui-ci s’appuyant désormais sur une fascination du peintre pour la vulnérabilité de son modèle, vulnérabilité qui devient le matériau de la création, son souffle en quelque sorte.