La valeur de l’inconnue
Sur le roman La valeur de l’inconnue de Cassie Bérard, La Mèche, 2019.
Qu’arrive-t-il lorsque l’on tente de conjuguer les découvertes de la physique quantique et les théories de la […]
Sur le roman La valeur de l’inconnue de Cassie Bérard, La Mèche, 2019.
Qu’arrive-t-il lorsque l’on tente de conjuguer les découvertes de la physique quantique et les théories de la […]
Si le capitalisme, énoncent Müller et Ruoff, demeure une catastrophe pour l'humanité, l'échec édifie le point de départ du polar.
Les autrices Élie Maure et Katherine Raymond se sont entretenues avec Leïka Morin au sujet de leur démarche littéraire, plus précisément à propos de leurs romans respectifs Le cœur de Berlin (Les Allusifs, 2016) et Matricide (XYZ, 2017).
Le travail du traducteur tombe assez rapidement en désuétude ; après une certaine période, tout est à recommencer. Le traducteur doit apprendre à vivre avec cette sorte d’obsolescence programmée. Il est le moine tibétain qui, pendant des jours d’efforts et de patience, dessine un magnifique mandala de sables colorés et qui, au terme de son éreintant labeur, efface son œuvre du revers de la main.
Près de vingt ans après sa publication, et alors qu’une nouvelle génération a supplanté celle du néo-polar, l’analyse d’Annie Collovald fait par ailleurs incidemment ressortir la rupture éthique qui semble s’être depuis opérée dans le roman policier noir hexagonal, littérature où s’inscrivent en creux les polarisations sociales et politiques de l’après-11 Septembre.
Alors, que raconte cette Histoire de la Série Noire ? Première chose, l’évolution de celle que les initiés ont surnommée la « dame en jaune et noir » y est retracée au fil des tendances du roman policier, surtout anglo-saxon au départ. Pour le bonheur de ceux et celles qui aspirent à écrire du ...
Le 22 novembre 2018 à la Librairie Saint Jean-Baptiste de Québec, Nicholas Giguère a clos sa résidence d’écriture 2017-2018 auprès du Crachoir de Flaubert avec une riche conférence portant le titre : « L’écriture du réel, le réel d’écriture ».
Les personnes invitées discutent notamment de la pratique littéraire et de son apport à une réflexion critique, que celle-ci ait lieu ou non dans un cadre universitaire. Elles se demandent également si la théorie serait l’apanage du milieu universitaire.
L’incorporation d’éléments de traduction dans le récit peut-elle ouvrir un espace où des significations supplémentaires peuvent émerger? Si oui, que pourrait-on y trouver?
En plus d’observer l’influence qu’a eue le mentorat sur son assurance, sa compétence et sa créativité traductive, l’étudiante constate que le mentorat l’a menée vers une approche fonctionnelle de la traduction.